Dimanche 7 décembre 2014, les citoyens de Coignières étaient symboliquement appelés à voter par référendum, pour se prononcer sur la question suivante : "Souhaitez-vous OUI ou NON, la préservation de la Communauté de Communes des Etangs dans son périmètre à dimension humaine et composée actuellement des communes des Bréviaires, de Coignières, des Essarts-le-Roi, de Maurepas et du Perray-en-Yvelines ?"

Les résultats de cette consultation électorale sont significatifs du soutien de la population à la position défendue par notre groupe et l'ensemble des membres du conseil municipal, toutes tendances confondues :

- 97,90 % des suffrages exprimés se sont ainsi portés sur le OUI, contre 2,10 % sur le NON.

- 35,70 % des votants se sont rendu aux urnes, soit 861 personnes sur 2 412 inscrits. Ce qui est à peine moins que pour une élection "officielle" comme les Régionales de 2014 (40,13% le 26 mai dernier).

Le projet porté par le Préfet de région, visant à intéger Coignières au sein d'un gigantesque ensemble de communes regroupant près de 800 000 habitants, est en totale contradiction avec la volonté des habitants de notre commune, qui le rejettent donc massivement.

L’Assemblée Générale de l'Association de Défense de la Communauté de Communes des Étangs (CCE) s’est tenue à la salle des fêtes des Bréviaires le vendredi 26 septembre 2014. Une cinquantaine de participants étaient présents.

Didier Fischer, en tant que conseiller régional, M. Maury (maire des Bréviaires et Président de la CCE), Paulette Deschamps (maire du Perray) entouraient M. Pailleux qui présidait cette séance.

Les maires de Maurepas (M. Garestier) et du Perray (M. Pommet), qui ne souhaitent pas faire partie de cette association car partisans de projets différents, étaient absents.

L’association a été créée avec pour objectifs de :

- Défendre l'existence de la CCE à laquelle Coignières appartient aujourd’hui ;

- Prouver sa pérennité, avec des projets partagés par les 5 communes membres ;

- Éviter son démantèlement ;

- Garder la maîtrise des investissements et de la gestion des sols ; 

- Affirmer que la loi MAPAM (Modernisation de l'Action Publique Territoriale et d'Affirmation des Métropoles) ne s'applique pas à notre CCE ;

- Démontrer que cette CCE constitue un territoire de transition entre 2 gros pôles, avec d’un côté la CASQY, CAPS, Europ'Essonne, Versailles Grand Parc et de l'autre côté Rambouillet et sa PFY.

Nous prendrons dans les semaines qui viennent un certain nombre d'initiatives afin de faire valoir notre position auprès des Coigniériennes et des Coigniériens. Une information détaillée à destination de chaque foyer et une réunion publique sont déjà envisagées. Elles précéderont une consultation publique où chacune et chacun d'entre vous pourront s'exprimer, car l'avenir de notre commune est en jeu. 

En attendant un relooking, notre site internet s'enrichit d'une nouvelles rubrique "Le Conseil Municipal en action... ou pas" qui relatera dorénavant les conseils municipaux et plus particulièrement les points sur lesquels notre groupe sera intervenu ou aura exprimé son désaccord.

Et pour ajouter un regard "extérieur" nous ouvrons également nos colonnes à l'expression du public. C'est ainsi que pour ce conseil municipal du 30 avril nous vous invitons à découvrir 2 pages qui en font la relation :

• le CM vu de l'intérieur, les 5 points qui ont fait débat
• le CM vu des bancs du public... car les CM sont publics, ne l'oublions pas !
  

et en lien direct avec l'une de nos interventions, le fac-simile de l'article paru dans Toutes Les Nouvelles (édition du 30/04/2014) au sujet du (futur?) centre médical.

Bonne lecture !